• Adieu Perpignan !  

    Ça y est! Les démarches pour changer de lieu sont entamées. Il faut savoir prendre des décisions sans tergiverser pendant des lustres. Et c’est ce que nous avons toujours su faire contrairement à beaucoup d’autres qui préfèrent peser le pour et le contre pendant des jours, des mois si ce ne sont des années. 

    Je ne dis pas que nous avons raison, c’est simplement qu’il faut savoir choisir et le faire rapidement car les élucubrations stériles ne servent à rien et pourrissent la vie.

    Adieu Perpignan. Sans regret aucun nous laissons la Catalogne aux Catalans… et à toute la "faune" qui s’y installe aux frais de la princesse et avec la bénédiction d’une municipalité à l’étiquette flottante.

    Bien sûr qu’on nous rétorquera qu’on croit que "l’herbe est plus verte ailleurs" et pourtant c’est la pure vérité, nous l’avons déjà expérimenté.

    La morale à tirer ? C’est que si vous n’êtes pas bien (sans aucune réserve) dans un endroit, que des opportunités s’offrent à vous… Pourquoi les négliger ? Pour la famille ? Pour les "amis" ?

    Dans quel but en réalité s’illusionner de son petit bien-être ? Simplement parce que le changement fait peur et que l’on préfère son petit cocon vieillissant plutôt qu’humer le parfum de l’aventure et de la découverte.

    C’est pour cela que nous sommes dans un pays vieillissant, sans ambition réelle, fait de gens mous contents de leur sort tout en geignant et qui descend dans les abysses du classement mondial des Nations sur tous les plans en nous situant bien après des territoires largement moins favorisés, préférant critiquer le voisin qui progresse au lieu d’OSER en voulant s’améliorer et non pas régresser.

    Coluche disait avec justesse: "L’emblème de la France est le coq car c’est le seul qui est capable de chanter les deux pieds dans la merde". Et n’y sommes-nous pas ?

     


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  • Si la ville, historiquement, a un riche passé culturellement parlant et a priori intéressant, sa situation actuelle est loin d’être des plus attirantes, hormis pour les touristes qui transitent quelques heures par là. 

    Venu m’y installer il y a un peu plus de six mois, intéressé par sa situation géographique proche de l’Espagne, je savais trouver là une ville où la population Catalane partageait son territoire avec les communautés issues du Maghreb et la communauté Gitane dont tout le monde a entendu parler au travers de rixes diverses entre ces deux populations dans ces dernières années. Connaissant assez bien les us et coutumes de ces deux communautés il n’y avait là aucun obstacle pour nous, la règle tacite étant que chacun reste à sa place pour vivre en bonne entente.

    La réalité ? C’est ce que nous avons trouvé. Une ville sale, qui sent mauvais, où comme dans de nombreuses communes, l’espace autour de la mairie est parfaitement entretenu et propre mais où il ne faut pas se déplacer en périphérie de ce quartier privilégié, où la notion de citoyenneté urbaine n’existe pas, à part sur des campagnes stériles d’affichage municipal.

    Les Catalans ? Fiers de leurs racines au point de mépriser tous ces nouveaux venus d’horizons extérieurs ne vous adresseront la parole que dans l’obligation extrême et ne vous ouvriront jamais leur porte. Les Gitans et les Maghrébins ? Ce sont sans doute eux les plus corrects, les plus ouverts, les plus respectueux dans la mesure où, je le répète , on ne se mêle pas de leurs affaires.

    Mais une troisième communauté a fleuri et grossit chaque jour un peu plus et ce n’est pas la meilleure. Je veux parler de la communauté sub-Saharienne. Là, ce n’est pas la même chose au point que, hormis du côté de la Mairie, certains Africains (du Nord) vous mettent en garde contre ce qui peut éventuellement se passer le soir ainsi que les lieux à éviter. Nous ne sommes pas à Barbès-Rochechouart, à la réputation tristement célèbre, mais on s’en rapproche bien avec une population de 16.5% d’immigrés (contre 9.7% en moyenne nationale) selon les données officielles (que l’on sait minorées) de 2019 tandis que tous les jours vous pouvez voir des valises ou des sacs qui arrivent d’Afrique sub-Saharienne.

    Je savais trouver une ville Maghrébine, je ne savais pas trouver une ville cosmopolite tendance Afrique noire, avec une population qui tient à affirmer une certaine suprématie face aux "blancs". Et après on dira que le maire actuel est de tendance politique ultra-droite ? C’est une légende urbaine, je pense avoir trouvé ici le maire le plus Mélanchonien du Front National ou alors, c’est une possibilité, il joue la même carte que le maire de Béziers pour qui le but ultime est de rallier le gouvernement actuel…

    Oui l’avenir nous irons le voir ailleurs car je critique et je crains ce lieu qui aurait pu être sympathique. Mais quand vous avez été obligé de déménager par souci de sécurité, de tranquillité, en moins de trois mois pour cause de violence et de menaces, que vous n’avez aucune envie de sortir le soir, comment ne pas penser à aller voir ailleurs ? Quitte à regretter notre nouvel appartement, tranquille et agréable à tous points de vue. Je déplore cette politique de ventres mous qui renient leurs idéaux pour ne chercher qu’à conserver un misérable fauteuil, j’exècre ces "responsables" incapables d’assumer des décisions fortes pour rétablir une paix citoyenne.

     

     


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  • Ecologie 

    L'écologie ! On nous rabat les oreilles avec ça. THE sujet du siècle ! Et qui n'a pas reçu aujourd'hui sa petite dose de culpabilisation ? C'est le marché le plus juteux que l'on pouvait créer et la foule des gogos, tels les moutons de Panurge fonce dans le panneau en bêlant. Béééé...cologie ! Béééé...cologie !

    Et pourtant, QUI a bâti (involontairement au départ) la mode de la perte de  ce naturel, repris et tellement vanté aujourd'hui avec la publicité produite par des écologistes de salon, QUI a voulu cette société de consommation ?

    Je ne vais pas dire les "snobinards parisiens" (même si dans nos campagnes profondes c'est exactement ce qui s'est toujours dit), ce serait leur faire beaucoup d'honneur et on me taxerait de ségrégationniste, mais pourtant ? Quelle mode n'est pas venue de la Capitale ??? Si des vieux (ben oui, les djeuns y connaissent pas) "provinciaux", villageois de surcroît ou paysans se souviennent de quelques (5) décades en arrière... Quand ils présentaient leurs fruits ou leurs légumes sur les marchés de gros... Que leur disait-on ? TA CAMELOTE N'EST PAS ASSEZ BELLE POUR L'EXPEDIER SUR LE MARCHE DE PARIS... Prends-toi ça dans la gueule ! Pourquoi ? Parce que naturels, ils avaient des défauts : pas assez réguliers, pas assez beaux, pas assez brillants, pas assez tout ! Les asperges blanches, les tomates à salade mures comme pour la conserve, les salades dégoulinantes de flotte, les fruits sans la moindre tache, le lait aseptisé et délavé et j'en passe. Tout cela était inconnu en province mais Dieu que tout cela avait du goût ! Et pour tout le reste, c'est pareil, on a même inventé la lessive qui lave la tache qui n'existe pas... (merci monsieur Coluche).

    Les usines polluent, OK. Les voitures polluent, OK. Ce qu'on mange c'est de la merde, OK. Mais encore une fois, QUI a voulu tout ça ? Le producteur ou le consommateur (en un mot ou en deux) ? N'est-ce pas ce con-sommateur qui est responsable puisque c'est lui le demandeur, c'est lui l'acheteur ? 

    Et comment faire cesser quelque chose ? Il n'y a qu'un moyen : LE BOYCOTT. Mais qui aujourd'hui est prêt à sacrifier un jour seulement sa voiture, son supermarché, sa télévision  ou simplement une heure d'utilisation d'énergie électrique ? PERSONNE.

    Alors on a inventé le concept d'écologie. Quelques allumés aux ambitions politiques ou mercantiles non dissimulées sont venus surfer sur cette vague qui, comme le Mascaret, se prolonge dans le temps. Et les inventions "écologiques" n'ont pas manqué et continuent d'ailleurs à le faire.

    La première chaine de magasins qui a su intelligemment (au sens commercial) exploiter le pigeon lobotomisé en vantant le naturel est admirable dans le sens où elle vend des produits qui n'ont de "BIO" que le nom, plus chers que dans le circuit traditionnel. Et ça marche ! Je ne donnerai qu'un exemple tout bête et tout petit, ce serait leur faire trop de pub : une pomme, une bête pomme. Quelle différence y-a-t-il entre celle du supermarché et celle vendue chez eux? Aucune ma p'tit dame ! Elles n'ont pas plus de ver (naturel) ou de tache l'une que l'autre. Et pourtant, chacun de nous qui peut avoir (ou voir) un petit bout de terrain où la nature s'épanouit naturellement, "biologiquement", peut voir la différence de rendu. Car la nature est imparfaite sur ce plan. Et la "beauté" vendable est un produit de l'HOMME. Aujourd'hui, le créneau porteur est le BIO, alors bien bête celui qui n'en profiterait pas ! Béééé...cologie !

    Alors réfléchissons et je reviendrai là-dessus. Quand et comment, sans retourner dans la vie des siècles passés, sans retourner à l'ère du topinambour (c'est la mode en ce moment), allons-nous enfin comprendre où  l'on en est et tourner le dos à ces beaux esprits capables seulement d'un verbiage creux pour vous endormir. Il ne devrait pas y avoir plus de "verts" que d'altermondialistes ou autre engeance pseudo baba-cool qui croyait dans les années du flower power que pour faire pousser des légumes il suffisait simplement de jeter des graines sur le sol... Rappelez-vous ! ce n'est pas si loin que ça... 



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  • Merci à Amazon

    Alors que de misérables petits esprits tapent sur Amazon, sans dire qu’eux-mêmes utilisent ce service, moi je m’en félicite au grand jour en étant devenu au fil des années un fidèle utilisateur de cet outil formidable qui me permet d’avoir directement à ma porte ce dont j’ai envie.

    Arrêtons l’hypocrisie ambiante qui fait que l’on doive rentrer dans un nouveau moule produit par des huluberlus. La mort des petites entreprises ? C’est faux puisque tout un chacun à la possibilité de rentrer dans ce système qui offre une visibilité incomparable. Le favoritisme à la production chinoise ou du bout du monde avec une "empreinte carbone" ? Que nenni ! Pour quelques kilos de CO2, c’est une économie mondiale qui en tire bénéfice. Des populations entières peuvent manger à leur faim ou se loger grâce au travail qui leur est proposé. Inutile de regarder par le petit bout de la lorgnette, ne voyons pas simplement quelques élucubrations d’esprits étriqués mais voyons l’humanité. Ne raisonnons pas à "dans 100 ans… ou plus". Ou alors c’est que Nostradamus (avec ses "prédictions" aux mille interprétations) s’est multiplié en des êtres capables de nous dévoiler l’avenir… d’une identique qualité aux fadaises de madame Irma.


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  • Les "people" donneurs de leçon.

    La culture de la flagellation se répand bien parmi la population Française blanche tandis que les politicards véreux encouragent les "artistes" (Noah, Omar Sy) qui vivent grassement aux USA à critiquer ce qui se passe sur notre sol. Alors, après l’ex-ministre qui avait joué la carte de l’esclavagisme, au sujet duquel il serait bon de revoir certaines contre-vérités, c’est au tour de personnes incomplètement au fait de ce qui s’est passé de se poser en donneurs de leçons en fustigeant les petits blancs qui sont nés pour martyriser les pauvres africains. Un seul fait est à citer puisque on est en train de tresser des lauriers à cet "acteur" pour son film (dont il va grassement profiter financièrement) dédié uniquement aux tirailleurs Sénégalais :

    Sur près de 1.400.000 soldats Français tués durant la 1ere guerre mondiale, on recense 30.000 morts parmi les tirailleurs Sénégalais. Bien sûr, le moindre mort doit compter, il n’est pas question d’en oublier, mais il faudrait quand même relativiser. Que fait-on de ce million presque et demi (simplement chez les soldats) sans compter les pertes immenses du côté des civils (blancs) ? Ils sont EUX, quantité négligeable ? J’imagine qu’ils doivent se retourner dans leurs tombes et leurs descendants pleurer de dégout.


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  • Il n’y a pas qu’à Lourdes

    Oui même dans cette ville il peut y avoir des miracles ! La preuve en est qu’après des mois avec le ventre à l’air au vu et au su de tous et des intempéries préjudiciables au matériel, les blocs de branchement téléphone/fibre retrouvent des portes fermées comme il est prévu que cela soit ! Extraordinaire cadeau de début d’année fait par les services compétents et enfin actifs. Il ne reste plus qu’à espérer que cela perdure et que l’on ne se retrouve pas de façon identique à la période passée à cause d’installateurs (puisque c’est leur domaine de compétence) négligents ou peu scrupuleux… Alors merci à ces employés des fournisseurs d’accès.

     

    Il n’y a pas qu’à Lourdes


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  • LA TÉLÉ AUJOURD’HUI

    À quoi se résume la production cinématographique aujourd’hui ? À des "séries" pour la télévision. Et quelles séries ! Des navets à longueur de pellicule avec des scénarios qui ne tiennent pas la route, un jeu d’acteurs qui est souvent pire que celui des amateurs qui se produisent pour leur plaisir avec leurs tripes et leur cœur sur les scènes de province.

    Les scénaristes, les producteurs, aucun n’a envie de "remonter le niveau", de produire un véritable moment de délassement ou de plaisir. L’inspiration ? Ce mot barbare doit être une insulte. La qualité de comédien ? Fi des cours Florent et consorts. Il suffit de s’être fait un nom comme "influenceuse", chanteur (ou pseudo chanteur comme un rappeur que je ne nommerai pas) ou animateur de télé, pour retrouver tout ce (beau !) monde sur nos écrans. Plus le temps passe, plus la médiocrité s’installe.

    Faut-il croire qu’il n’y a qu’à l’étranger que l’on sache réellement ce que veulent dire les mots de "comédie", de "drame" ou de "suspense" ? En France, pour un seul film digne de ce nom qu’on doit aller puiser dans les ressources de l’INA* en ressortant des chefs-d’œuvre avec des acteurs qui savent ce que leur jeu représente pour le spectateur, combien doit-on endurer de productions ineptes incapables de faire passer une émotion ou la beauté d’une scène ?

    Alors la faute, vient-elle du monde du cinéma ? Du monde de la télévision ? Ou bien faut-il la chercher du côté des gens qui se laissent gaver sans rien dire, acceptant les pires choses en croyant que ce sont les meilleures et les plus distrayantes ?

    *Institut National de l’Audiovisuel


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    DE L’AERATION POUR LES CIRCUITS

    Sans doute les coffrets de répartition du réseau téléphone/fibre doit être largement ventilé. Plusieurs de ces équipements ressemblent à ce qui ressort sur la photo. Ouverts à tous les vents, aux intempéries pour ne pas dire au vandalisme, ce matériel est donc moins fragile qu’on pourrait le croire. Mais peut-être les services concernés n’ont pas encore osé proposer aux habitants des quartiers desservis de se cotiser pour payer de nouvelles portes. Inesthétiques, comme à l’abandon, dangereux même si un enfant allait y mettre les mains pour jouer avec cette jolie forêt de fils en guirlandes, que faut-il faire pour qu’Orange, qui semble le premier concerné s’en occupe sérieusement ? La grève du paiement des factures ? Que quelqu’un ait une idée malveillante ? Dans les zones reculées des pays dits "défavorisés" on ne verrait même pas cela

    .De l'aération pour les circuits


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  • JAMAIS CONTENT…

    Le Français est ainsi fait. Jamais content. Alors que toutes les personnes qui vivent (ou survivent) des allocations chômage, se désespérant pour la majorité de ne pas avoir d’emploi (tous ne sont pas des fainéants vautrés sur leur canapé, loin s’en faut), ceux qui ont du travail se plaignent soit de leurs conditions pas assez valorisantes à leurs yeux, soit d’un manque de temps pour leurs loisirs ou encore trop "pénibles". Il n’est pas question de nier que cela peut exister mais ceux qui crient le plus fort ne sont en général pas les plus malheureux. Ces derniers ont trop de pudeur (ou de honte) pour exprimer ce qu’ils vivent réellement chaque jour qui passe.

    Les retraités qui se plaignent devant les caméras ? Ils devraient avoir la décence de ne pas dire le montant de leur retraite. Les salariés qui parlent de leur salaire ? Oublient-ils les APL, les aides pour les enfants, les conditions qui leur sont offertes par les entreprises pour aider ces "pauvres gens" qui parlent de la misère comme du loup sans jamais en avoir vu la queue.

    Le seul credo en cours est "il faut taper sur les patrons et les riches" qui doivent rendre gorge de ce qu’ils amassent. Mais s’ils ni avait pas de riches, s’il n’y avait pas ces investisseurs, ces actionnaires… Quelle entreprise fonctionnerait, amenant de l’emploi et par conséquent des revenus ? Les vacances où l’on se retrouve entassés sur les plages ou sur les pistes de ski, les fêtes, Noël, Pâques et j’en passe… D’où viendrait l’argent qui permet à ces pauvres ouvriers, ces pauvres employés de se payer tout ce luxe dont ils profitent ? Don du ciel ?


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  • SOCIETE

    Où va cette société sinon vers un inéluctable abîme ? Pas une personne au monde n’est aujourd’hui capable de prendre les rênes d’une destinée rêvée. Utopies, leurres divers, mensonges sont le quotidien des médias grassement payés pour raconter des fariboles qui endorment le public. J’ai beau chercher de tous côtés, rien ne peut me donner le moindre espoir. Alors je me retourne vers mon passé et je cherche. Je cherche depuis quand le monde a commencé cette fuite en avant comme les lemmings du grand Nord qui migrent annuellement en rangs tellement serrés qu’ils se provoquent eux-mêmes des accidents de masse au point que l’on a cru qu’ils se suicidaient. La "chose" s’est mise en branle à l’aube de l’an 2000 et depuis poursuit son expansion exponentielle en broyant tout ce qui ne va pas dans sa marche en avant.

    L’homme à sa manière obéit stupidement à la même règle du troupeau. Sa fuite en avant, il la fait avec son automobile "électrique", son irrespect de la nature et son incapacité à se gérer tout seul, obéissant aveuglément aux diktats médiatiquement distillés. Son manque d’intellect l’empêche d’apercevoir ce qui est réellement bien pour son devenir, au-delà de ce qu’il ingurgite du matin au soir et du premier janvier au 31 décembre.

    Combien reste-t-il de gens capables de penser avec discernement, de réfléchir et ce mot n’est pas une insulte, et de comprendre que quelques "beaux esprits", les nouveaux gourous d’aujourd’hui, mènent le monde à leur guise dans un gigantesque tournoi de jeu d’échec ?

     

     


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